d'Avesnes, Mathilde 1a 2a 3a

Birth Name d'Avesnes, Mathilde
Gender female
Age at Death 67 years, 10 months, 4 days

Parents

Relation to main person Name Birth date Death date Relation within this family (if not by birth)
Father d'Avesnes, Jacques11501191-09-07
Mother de Guise, Adele11551207
         d'Avesnes, Mathilde 1170 1237-11-05
    Brother     d'Avesnes, Bouchard 1180 1244
    Brother     d'Avesnes, Gauthier 1181

Families

Family of de Chiny, Louis and d'Avesnes, Mathilde

Married Husband de Chiny, Louis ( * 1172 + 1226-11-10 )
   
Event Date Place Description Sources
Marriage 1206     5a
  Children
Name Birth Date Death Date
de Hacquegnies, Agnes Mathilde de Trazegniesabout 12001230-08-00
de Chiny, Idabelle de Hacquegniesabout 1201about 1232
de Chiny, Jeanne12051271

Source References

  1. Genealogy Spaan » Mathilde d'Avesnes (± 1183-1236)
      • Source text:

        Personal data Mathilde d'Avesnes
        She was born about 1183 in Avesnes, Pas-de-Calais, France.
        She died on November 5, 1236. She was about 52-53 years old.
        A child of Jacques d'Avesnes and Adelheid de Guise

        Household of Mathilde d'Avesnes
        (1) She had a relationship with Louis de Chiny.

         

        Child(ren):

        Jeanne de Chiny 1206-1268

         

        (2) She is married to Nicolas de Rumigny.

        They got married.

         

        Child(ren):

        Nicolas de Rumigny 1195-1257

      • Citation:

        Ria Spaan, "Genealogy Spaan", database, Genealogy Online (https://www.genealogieonline.nl/genealogie-spaan/I506353.php : accessed August 8, 2024), "Mathilde d'Avesnes (± 1183-1236)".

  2. Geneanet - Mathilde d'AVESNES
      • Source text:

        F Mathilde d'AVESNESSosa : 259,064,379
        Comtesse de Chiny

        Born about 1165 - AVESNES-SUR-HELPE, 59036, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France
        Deceased November 5, 1236 (Wednesday) - TOURNAI/DOORNIK, 7500, Hainaut, Région Wallone, BELGIQUE, aged about 71 years old
        Comtesse de Chiny
        6 files available


        Parents
        sosa Jacques d'AVESNES, Chevalier. Seigneur d'Avesnes, de Condé, de Guise, de Leuze, de Landrecies , born in 1150 - AVESNES-SUR-HELPE, 59036, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, deceased September 7, 1191 (Saturday) - Arsouf, Terre Sainte, Palestine aged 41 years old, CHEVALIER. Seigneur d'AVESNES, de CONDE et de LEUZE, LANDRECIES,TRELON et GUISE .
        Croisé lors de la 3ème croisade (1189-1192).
        Married possibly in 1165 to
        sosa Adèle de GUISE, Dame héritière de Guise (Picardie) , born about 1145 - Guise, 02361, Aisne, Picardie, France, deceased in 1207 aged about 62 years old, Dame héritière de Guise, Dame de Lesquilles

        Spouses, children, grandchildren and great-grandchildren
        Married about 1200 to Nicolas IV de RUMIGNY, Seigneur de Rumigny (Ardennes) , born about 1160, deceased February 19, 1205 (Saturday) aged about 45 years old, Seigneur de Rumigny (Parents : M Nicolas III de RUMIGNY †ca 1175 & F sosa Eve de CHIEVRES, Dame de Chièvres (Hainaut, Belgique) ca 1120-ca 1180) with
        M Nicolas V de RUMIGNY †1257 Married to Isabeau de BOVES DE COUCY 1202- with
        M Nicolas VI de RUMIGNY † Married in 1214 to Marguerite de PICQUIGNY
        F Alix de RUMIGNY 1200-1253 Married to Robert de GARLANDE †
        Married in 1206 to sosa Louis IV de CHINY, Chevalier. Comte de Chiny , born in 1172, deceased in 1226 - Cahors, 46042, Lot, Midi-Pyrénées, France aged 54 years old, COMTE de CHINY. CHEVALIER (Parents : M sosa Louis III de CHINY, Comte de Chiny 1141-1189 & F sosa Sophie d'ASPREMONT, Comtesse de Chiny. Dame d'Yvois (Meuse) 1157-1207) with
        F sosa Jeanne de CHINY, Comtesse de Chiny. Dame de Givet 1205-1271 Married in 1230 to sosa Arnoul de LOOZ, Comte de Looz. Comte de Chiny 1210-1273 with
        M sosa Jean 1er de LOOZ, Ecuyer. Comte de Looz. Comte de Chiny ca 1230-1278 Married about 1258 to Mathilde de JULIERS ca 1238-/1279 with :
        M Arnoul V de LOOZ, Comte de Looz et de Chiny 1260-1327

        Jean 1er de LOOZ, Ecuyer. Comte de Looz. Comte de Chiny ca 1230-1278 Married in 1269 to sosa Isabelle de CONDE, Dame de Morialmé 1240-1280 with :
        M Jean II de LOOZ 1260-
        F sosa Marie de LOOZ ca 1275-1300/
        F Juliane de LOOZ ca 1235-1301 Married before 1264, Borgloon, 3840, LIMBOURG, Flandre, BELGIQUE, to Nicolas de QUIÉVRAIN, Ecuyer. Seigneur de Quievrain (Belgique) 1230-1280 with :
        M Wautier de QUIÉVRAIN, Ecuyer. Seigneur de Quievrain (Belgique) 1255-
        F Isabelle de QUIÉVRAIN, Dame de Quievrain 1264-1335

        Siblings
        F sosa Mathilde d'AVESNES, Comtesse de Chiny ca 1165-1236 Married about 1200 to Nicolas IV de RUMIGNY, Seigneur de Rumigny (Ardennes) ca 1160-1205
        Mathilde d'AVESNES, Comtesse de Chiny ca 1165-1236 Married in 1206 to sosa Louis IV de CHINY, Chevalier. Comte de Chiny 1172-1226
        M sosa Bouchard d'AVESNES, Comte d'Avesnes. Bailli du Hainaut ca 1170-1244 Married July 23, 1212 (Monday) to sosa Marguerite de HAINAUT, Comtesse de Flandre. Comtesse de Hainaut. Dame d'Avesnes. Dame de Dampierre 1202-1280
        F sosa Adélaide d'AVESNES, Dame de Hans 1180-1216 Married in 1201 to sosa Englebert IV d'ENGHIEN, Chevalier. Seigneur d'Enghien (Hainaut, Belgique) ca 1185-1250
        M sosa Gautier II d'AVESNES, Seigneur d'Avesnes, de Leuze, de Condé, de Guise. Comte de Blois et de Chartres 1181-1244 Married about 1200 to sosa Marguerite de BLOIS, Comtesse de Bourgogne 1170-1230

        Notes
        Individual Note
        Origine : HAINAUT
        Période : MOYEN-AGE (987-1498)

        = > ASCENDANCE CAPÉTIENNE

        La Maison d'AVESNES, peut désigner deux familles nobles du Hainaut, des Flandres et de la Hollande.
        Vers l'an 1000, tous les domaines aux alentours de la ville d'AVESNES-SUR-HELPE, appartenaient à la Maison d'Avesnes en Comté de Hainaut.
        L'un des vassaux les plus puissants du Comte de Hainaut était Cédric le Sor, seigneur de Leuze et Condé.
        Son fils Wedric II et son fils Theobald firent construire à Avesnes un château. Autrefois, celui-ci devait devenir la demeure principale de la famille du meme nom. Cedric n'a eu qu'un seul enfant, une fille, Ada, qui se maria avec le bailli de Tournay, Fastré d'Oisy

        LE HAINAUT :
        D'où vient le mot "Hainaut" ?
        L'appellation "Hainaut", issue du mot germanique "Hagino", dérivé de "Hago", le bois
        Il donnera "Haine" en français et fait référence à la rivière éponyme qui a longtemps servi de trait d'union entre les bassins de la Meuse et de l'Escaut, contribuant, dès le Moyen Age, à l'essor économique de la région, grâce, notamment, au transport de la houille .
        Bien avant cela, à l'ère néolithique, des hommes s'étaient établis dans la vallée de la Haine, entre Obourg et Siennes, pour y exploiter le silex et donner ainsi naissance à la première industrie de l'Histoire.
        L'époque romaine :
        Lorsqu'il entreprend la conquête de la Gaule Belgique, en 57 av. J.C., Jules Cesar se heurte aux Nerviens, qui contrôlent une vaste zone s'étendant d'Anvers à Cambrai.
        Défaits à la bataille du Sabis (une rivière qui pourrait être la Sambre), ceux-ci sont intégrés dans l'Empire romain mais conservent une parcelle d'autonomie au sein de la « Cité des Nerviens » : une circonscription administrative créée sous l'Empereur Auguste et dont le chef-lieu est Bavay.
        C'est sur la base de ce découpage territorial que seront fondés, au IVe siècle, les diocèses de Cambrai (qui supplante Bavay), et de Tournai, situé sur la rive gauche de l'Escaut, en pays Ménapien.
        Les invasions germaniques :
        Les Francs s'emparent de la Gaule septentrionale et installent leur capitale à Tournai. De nouvelles subdivisions territoriales apparaissent.
        Le Diocèse de Cambrai est scindé en plusieurs « pays », qui se transformeront plus tard en comtés.
        Le pagus de Famars (un ancien oppidum romain situé à proximité de Valenciennes) regroupe une partie des territoires du Hainaut belge et français. Cette appellation sera progressivement supplantée par le terme « Haynau », un changement qui reflète le déplacement du centre de gravité du territoire en direction de la Haine.
        A la fin du VIIème siècle, Waudru, fille de Walbert, Gouverneur du Hainaut sous Dagobert Ier, fonde sur une colline, au confluent de la Trouille et de la Haine, un oratoire autour duquel s'érigera la ville de Mons, future capitale des Comtes de Hainaut.
        Les Comtes de Hainaut :
        A la mort de Charlemagne, l'Empire franc, qui s'étend du Danube aux Pyrénées, ne tarde pas à se désagréger. Les seigneurs locaux mettent à profit cette longue période d'instabilité pour affermir leur pouvoir féodal et tenter d'agrandir leurs domaines.
        Au fil des querelles, le Comté de Hainaut parvient à grignoter de nouveaux territoires au nord (Chièvres, Braine-le-Comte, Halles) et au sud (Beaumont, Chimay) au détriment de la Flandre, du Brabant et du Namurois. Les frontières qui se mettent en place à la fin du XIème siècle subsistent quasi jusqu'à la Révolution française.
        Mais les Comtes de Hainaut ont d'autres ambitions. En 1160, Baudouin V épouse la fille de son puissant voisin, le Comte de Flandre, auquel il succède, réalisant ainsi l'union des deux territoires. Son fils Baudouin VI se fera même sacrer Empereur romain d'Orient à Constantinople, à la faveur de la quatrième croisade. Après sa mort, la Flandre et le Hainaut prendront à nouveau des chemins distincts. Un siècle plus tard, le Comte Jean d'Avesnes se fait reconnaître héritier du Comté de Hollande.
        Cette montée en puissance ne se fait pas sans heurts ni revers. Coincé entre le Royaume de France et l'Empire romain germanique, le territoire hainuyer, avec ses campagnes fertiles et ses nombreux centres urbains, est l'objet de toutes les convoitises. Il devient rapidement le champs de bataille des rivalités entre grandes puissances, y compris de l'Angleterre. La domination bourguignonne :
        A la mort de Charlemagne, l'Empire franc, qui s'étend du Danube aux Pyrénées, ne tarde pas à se désagréger. Les seigneurs locaux mettent à profit cette longue période d'instabilité pour affermir leur pouvoir féodal et tenter d'agrandir leurs domaines.
        Au fil des querelles, le Comté de Hainaut parvient à grignoter de nouveaux territoires au nord (Chièvres, Braine-le-Comte, Halles) et au sud (Beaumont, Chimay) au détriment de la Flandre, du Brabant et du Namurois. Les frontières qui se mettent en place à la fin du XIème siècle subsistent quasi jusqu'à la Révolution française.
        Mais les Comtes de Hainaut ont d'autres ambitions. En 1160, Baudouin V épouse la fille de son puissant voisin, le Comte de Flandre, auquel il succède, réalisant ainsi l'union des deux territoires. Son fils Baudouin VI se fera même sacrer Empereur romain d'Orient à Constantinople, à la faveur de la quatrième croisade. Après sa mort, la Flandre et le Hainaut prendront à nouveau des chemins distincts. Un siècle plus tard, le Comte Jean d'Avesnes se fait reconnaître héritier du Comté de Hollande.
        Cette montée en puissance ne se fait pas sans heurts ni revers. Coincé entre le Royaume de France et l'Empire romain germanique, le territoire hainuyer, avec ses campagnes fertiles et ses nombreux centres urbains, est l'objet de toutes les convoitises. Il devient rapidement le champs de bataille des rivalités entre grandes puissances, y compris de l'Angleterre.
        La domination bourguignonne :
        A la mort de Charlemagne, l'Empire franc, qui s'étend du Danube aux Pyrénées, ne tarde pas à se désagréger. Les seigneurs locaux mettent à profit cette longue période d'instabilité pour affermir leur pouvoir féodal et tenter d'agrandir leurs domaines.
        Au fil des querelles, le Comté de Hainaut parvient à grignoter de nouveaux territoires au nord (Chièvres, Braine-le-Comte, Halles) et au sud (Beaumont, Chimay) au détriment de la Flandre, du Brabant et du Namurois. Les frontières qui se mettent en place à la fin du XIème siècle subsistent quasi jusqu'à la Révolution française.
        Mais les Comtes de Hainaut ont d'autres ambitions. En 1160, Baudouin V épouse la fille de son puissant voisin, le Comte de Flandre, auquel il succède, réalisant ainsi l'union des deux territoires. Son fils Baudouin VI se fera même sacrer Empereur romain d'Orient à Constantinople, à la faveur de la quatrième croisade. Après sa mort, la Flandre et le Hainaut prendront à nouveau des chemins distincts. Un siècle plus tard, le Comte Jean d'Avesnes se fait reconnaître héritier du Comté de Hollande.
        Cette montée en puissance ne se fait pas sans heurts ni revers. Coincé entre le Royaume de France et l'Empire romain germanique, le territoire hainuyer, avec ses campagnes fertiles et ses nombreux centres urbains, est l'objet de toutes les convoitises. Il devient rapidement le champs de bataille des rivalités entre grandes puissances, y compris de l'Angleterre.
        Les Guerres ... :
        Au début du XVIIe siècle, la Guerre de Trente ans implique la plupart des puissances de l'époque induit des conséquences importantes sur le plan géopolitique : les provinces protestantes du Nord des Pays-Bas, qui avaient fait session en 1581, acquièrent définitivement leur indépendance et forment les Provinces-Unies. Le sud, à majorité catholique, reste sous domination espagnole jusqu'à son transfert à la maison d'Autriche, en 1713, suite à la Guerre de Succession d'Espagne. Entretemps, le Hainaut historique est amputé d'une partie de son territoire (Avesnes, Maubeuge, Valenciennes), cédé à la France.
        ... et les révolutions :
        La Révolution de 1789 entraîne, dès 1795, l'annexion par la République française des neufs provinces belges, qu'elle transforme en départements. Le Hainaut est renommé Département de Jemappes, en mémoire de la bataille qui s'y est déroulée en 1792. Un nouveau remodelage territorial s'ensuit, à la faveur duquel le Département de Jemappes absorbe les régions de Tournai, Charleroi et Thuin.
        A partir de 1815, la Belgique passe sous régime hollandais et les provinces retrouvent leurs anciennes appellations, qu'elles conserveront après l'indépendance. La Constitution de 1831 reconnait d'ailleurs expressément l'existence des provinces comme entités administratives et les dote d'organes représentatifs jouissant d'une certaine autonomie.
        Le XIXème siècle va marquer le Hainaut de l'empreinte de la révolution industrielle. Après le charbon, le Hainaut devient aussi le bassin de la sidérurgie, de la fabrication métallique, de la construction mécanique et électrique, de la chimie, de la faïencerie, de la verrerie et de la confection, sans oublier le secteur carrier de la pierre et de la craie.


        Sources
        Family 2: GENEANET, Jocelyne LEBAYLE CHAZAREIX (jlebaylechazare)

      • Citation:

        https://gw.geneanet.org/jlebaylechazare?n=d+avesnes&oc=&p=mathilde

  3. Foundation for Medieval Genealogy - MATHILDE d'Avesnes
      • Source text:

        MATHILDE d'Avesnes ([1170]-5 Nov, 1237 or after). The late 13th century genealogy by Balduinus de Avennis names "Machtildem, Aelidem, Adeluyam et Agnetem" as the four daughters of "Nicolai Plukelli filius primogenitus Jacobus" and his wife, adding that "primogenita" married "comiti de Cisneio" and (incorrectly) as her second husband "domino Nicolao de Rumengni"[844]. The Chronicon Hanoniense refers to one of the daughters of "Iacobum [filium Nicholai…de Avethnes]" & his wife as wife of "Nicholao…Nicholay de Ruminio et Damison de Cirvia filio" but does not name her[845]. “Ludovicus comes de Chisnei” reached agreement with Orval concerning “prato ante Yvodium”, with the consent of “uxor mea Mathildis...cum filiabus meis Johenne et Agnes”, by charter dated Jul 1212[846]. “Henricus comes Barri” attested that “consanguineus meus Ludovicus comes de Chisney in magna infirmitate...apud Chaors” donated property “in molendino de Thonele” to Orval by testament before he died, with the consent of “M. uxor sua comitissa et Johanna primogenita sua”, by charter dated Nov 1226[847]. “...Comitissa de Chinniaco, soror domini Bouchardi de Avenis et filie eius...” and others requested the archbishop of Reims to confirm their agreement regarding the Flanders succession by charter dated [Feb] 1235, confirmed before 8 Apr 1235 by the archbishop[848]. “Mathildis domina de Rumegny” donated “duo diurnalia vinearum apud Ars” to Orval, with the consent of “abbas Aureævallis et soror mea de Rosoir”, by charter dated Jul 1237[849]. The necrology of Orval records the death “Non Nov” of “Matildis comitissa de Chiny uxor Ludovici junioris” and her donation of “molendinum de Tonelle et...prati ante Ivodium”[850]. m firstly [as his second wife,] NICOLAS [IV] Seigneur de Rumigny, son of NICOLAS [III] Seigneur de Rumigny & his wife Eva de Chièvres ([1150/55]-19/20 Feb 1205). m secondly (after Feb 1205) LOUIS [IV] Comte de Chiny, son of LOUIS [III] Comte de Chiny & his wife Sophie --- (after 1173-[17 Jan/Nov] 1226).

      • Citation:

        https://fmg.ac/Projects/MedLands/HAINAUT.htm#MathildeAvesnesdiedafter1236

  4. GX9V-FG4 FamilySearch.org
      • Source text:

        Foundation for Medieval Genealogy

        MATHILDE d'Avesnes ([1170]-5 Nov, 1237 or after). The late 13th century genealogy by Balduinus de Avennis names "Machtildem, Aelidem, Adeluyam et Agnetem" as the four daughters of "Nicolai Plukelli filius primogenitus Jacobus" and his wife, adding that "primogenita" married "comiti de Cisneio" and (incorrectly) as her second husband "domino Nicolao de Rumengni"[837].

        The Chronicon Hanoniense refers to one of the daughters of "Iacobum [filium Nicholai…de Avethnes]" & his wife as wife of "Nicholao…Nicholay de Ruminio et Damison de Cirvia filio" but does not name her[838].

        “Ludovicus comes de Chisnei” reached agreement with Orval concerning “prato ante Yvodium”, with the consent of “uxor mea Mathildis...cum filiabus meis Johenne et Agnes”, by charter dated Jul 1212[839].

        “Henricus comes Barri” attested that “consanguineus meus Ludovicus comes de Chisney in magna infirmitate...apud Chaors” donated property “in molendino de Thonele” to Orval by testament before he died, with the consent of “M. uxor sua comitissa et Johanna primogenita sua”, by charter dated Nov 1226[840].

        “...Comitissa de Chinniaco, soror domini Bouchardi de Avenis et filie eius...” and others requested the archbishop of Reims to confirm their agreement regarding the Flanders succession by charter dated [Feb] 1235, confirmed before 8 Apr 1235 by the archbishop[841]. “Mathildis domina de Rumegny” donated “duo diurnalia vinearum apud Ars” to Orval, with the consent of “abbas Aureævallis et soror mea de Rosoir”, by charter dated Jul 1237[842].

        The necrology of Orval records the death “Non Nov” of “Matildis comitissa de Chiny uxor Ludovici junioris” and her donation of “molendinum de Tonelle et...prati ante Ivodium”[843].

        m firstly [as his second wife,] NICOLAS [IV] Seigneur de Rumigny, son of NICOLAS [III] Seigneur de Rumigny & his wife Eva de Chièvres ([1150/55]-19/20 Feb 1205).

        m secondly (after Feb 1205) LOUIS [IV] Comte de Chiny, son of LOUIS [III] Comte de Chiny & his wife Sophie --- (after 1173-[17 Jan/Nov] 1226).

      • Citation:

        https://www.familysearch.org/tree/person/details/GX9V-FG4

      • Source text:

        Foundation for Medieval Genealogy

        MATHILDE d'Avesnes ([1170]-5 Nov, 1237 or after). The late 13th century genealogy by Balduinus de Avennis names "Machtildem, Aelidem, Adeluyam et Agnetem" as the four daughters of "Nicolai Plukelli filius primogenitus Jacobus" and his wife, adding that "primogenita" married "comiti de Cisneio" and (incorrectly) as her second husband "domino Nicolao de Rumengni"[837].

        The Chronicon Hanoniense refers to one of the daughters of "Iacobum [filium Nicholai…de Avethnes]" & his wife as wife of "Nicholao…Nicholay de Ruminio et Damison de Cirvia filio" but does not name her[838].

        “Ludovicus comes de Chisnei” reached agreement with Orval concerning “prato ante Yvodium”, with the consent of “uxor mea Mathildis...cum filiabus meis Johenne et Agnes”, by charter dated Jul 1212[839].

        “Henricus comes Barri” attested that “consanguineus meus Ludovicus comes de Chisney in magna infirmitate...apud Chaors” donated property “in molendino de Thonele” to Orval by testament before he died, with the consent of “M. uxor sua comitissa et Johanna primogenita sua”, by charter dated Nov 1226[840].

        “...Comitissa de Chinniaco, soror domini Bouchardi de Avenis et filie eius...” and others requested the archbishop of Reims to confirm their agreement regarding the Flanders succession by charter dated [Feb] 1235, confirmed before 8 Apr 1235 by the archbishop[841]. “Mathildis domina de Rumegny” donated “duo diurnalia vinearum apud Ars” to Orval, with the consent of “abbas Aureævallis et soror mea de Rosoir”, by charter dated Jul 1237[842].

        The necrology of Orval records the death “Non Nov” of “Matildis comitissa de Chiny uxor Ludovici junioris” and her donation of “molendinum de Tonelle et...prati ante Ivodium”[843].

        m firstly [as his second wife,] NICOLAS [IV] Seigneur de Rumigny, son of NICOLAS [III] Seigneur de Rumigny & his wife Eva de Chièvres ([1150/55]-19/20 Feb 1205).

        m secondly (after Feb 1205) LOUIS [IV] Comte de Chiny, son of LOUIS [III] Comte de Chiny & his wife Sophie --- (after 1173-[17 Jan/Nov] 1226).

      • Citation:

        https://www.familysearch.org/tree/person/details/GX9V-FG4

  5. GGGS-5FG FamilySearch.org
      • Source text:

        LOUIS [IV] (after 1173-7 Oct 1226, bur Orval). “Ludovicus...comes de Chisnei...per manus uxoris meæ Sophiæ et filii mei Ludovici et matris meæ et fratris mei Theodorici” confirmed the donation of “nemore Bellonis Campaniæ” made to Orval by “homines mei Cono de Viler, Symon de Firmitate et Lambertus de Staules” by charter dated 1185[652]. His father’s charter dated 1173 (before 23 May) states that he was childless at that date. Comte de Chiny. “Sophia comitissa de Chisnei...per manum filiorum meorum Ludovici comitis junioris de Chisneio et Anselmi” donated “pratum apud Briuele super Mosa” to Orval, with the consent of “domini Anselmi de Gerlande mariti mei”, by charter dated 1197[653]. “Sophia...comitissa de Chisneio...quoque filius eius comes de Chisneio” notified that “homines...de Morei” had donated a field to Orval by charter dated 1198[654]. “Ludovicus Ludovici filius comes de Chisneio” approved an arbitral decision relating to a dispute between Orval and “Henricum dominum Firmitatis” by charter dated 1200[655]. [656]. “Ludovicus...comes de Chinei” donated “patronatum...ecclesiæ de Giversei, de Trembloit et de Chamoulhei” to Orval by charter dated 1200, under his seal and that of “domini Gaufridi de Asperomonte cognati mei”[657]. Louis’s family relationship with Geoffroy [I] d’Aspremont was through his paternal aunt who had married Geoffroy’s father. “Ludovicus...comes de Chisneio” noted that “nobilis vir Guido cognomento Senescalcus et uxor eius Helvidis de Radulficurte” had donated fishing rights “in aqua sua de Poillei” to Orval by charter dated 1205[658]. “Ludovicus comes de Chisneio” declared that “dominus Dudo miles de Malendrei infirmitate detentus et senio” had made donations to Orval, now ratified by “Ulricus miles gener eiusdem cum uxore Ysolde...Galteri...alterius fratris...”, by charter dated 1206[659]. “Ludovicus junior...comes de Chineio...cum matre mea Sophia” donated harvest “in molendino...apud Verton” to Orval, in exchange for revenue from property “apud Savinsart” which had been donated by “mater mea Sophia comitissa” for the soul of “bonæ memoriæ patris mei Ludovici comitis”, by charter dated 1207[660]. “Ludovicus comes de Chisnei” reached agreement with Orval concerning “prato ante Yvodium”, with the consent of “uxor mea Mathildis...cum filiabus meis Johenne et Agnes”, by charter dated Jul 1212[661]. "Ludovici comitis de Chisni, Egidii de Hierge, Arnulphi de Morelmes, Jacobi de Orcismont" signed the charter dated 1218 under which "Rogerus de Cimaco…castellaniam de Covinio" confirmed his rights and those of the bishop of Liège in Couvin[662]. “Ludovicus comes de Chiny” reached noted a settlement of a dispute with Orval involving “terris de Ysengiermont” by charter dated 17 Jan 1226[663]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records the death in 1226 of "Ludovicus…comes de Cisneio" and his burial "in Aureavalle" with "avus eius Albertus comes"[664]. “Henricus comes Barri” attested that “consanguineus meus Ludovicus comes de Chisney in magna infirmitate...apud Chaors” donated property “in molendino de Thonele” to Orval by testament before he died, with the consent of “M. uxor sua comitissa et Johanna primogenita sua”, by charter dated Nov 1226[665]. The necrology of Orval records the death “V Id Oct” of “Lodovicus comes de Chiney” and his donation of “molendinum de Tonelle”[666]. m (after Feb 1205) as her second husband, MATHILDE d'Avesnes, widow of NICOLAS [IV] Seigneur de Rumigny, daughter of JACQUES Seigneur d'Avesnes & his wife Adeline de Guise ([1170]-5 Nov, 1237 or after). The late 13th century genealogy by Balduinus de Avennis names "Machtildem, Aelidem, Adeluyam et Agnetem" as the four daughters of "Nicolai Plukelli filius primogenitus Jacobus" and his wife, adding that "primogenita" married "comiti de Cisneio" and (incorrectly) as her second husband "domino Nicolao de Rumengni"[667]. “Ludovicus comes de Chisnei” reached agreement with Orval concerning “prato ante Yvodium”, with the consent of “uxor mea Mathildis...cum filiabus meis Johenne et Agnes”, by charter dated Jul 1212[668]. “Henricus comes Barri” attested that “consanguineus meus Ludovicus comes de Chisney in magna infirmitate...apud Chaors” donated property “in molendino de Thonele” to Orval by testament before he died, with the consent of “M. uxor sua comitissa et Johanna primogenita sua”, by charter dated Nov 1226[669]. “...Comitissa de Chinniaco, soror domini Bouchardi de Avenis et filie eius...” and others requested the archbishop of Reims to confirm their agreement regarding the Flanders succession by charter dated [Feb] 1235, confirmed before 8 Apr 1235 by the archbishop[670]. “Mathildis domina de Rumegny” donated “duo diurnalia vinearum apud Ars” to Orval, with the consent of “abbas Aureævallis et soror mea de Rosoir”, by charter dated Jul 1237[671]. The necrology of Orval records the death “Non Nov” of “Matildis comitissa de Chiny uxor Ludovici junioris” and her donation of “molendinum de Tonelle et...prati ante Ivodium”[672]. Louis [IV] & his wife had three children:

        i) JEANNE (-17 Jan 1271).
        ii) AGNES (-before 1235)
        iii) ISABELLE ([1207/10?]-after Apr 1259, possibly [5 Jun 1270/24 Jun 1273], maybe after 1285).

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        Wikipedia
        Louis IV the Young (1173 – 7 October 1226), Count of Chiny from 1189 to 1226, son of Louis III, Count of Chiny, and Sophie. Louis was the last of the first dynasty of Counts of Chiny.

        Having no son, he prepared his eldest daughter Jeanne as his successor. Louis marked his reign by issuing the first postage stamp in the county.

        He succeeded as count in 1189 when his father died on the Third Crusade, but was under the supervision of his mother and uncle Thierry, Lord of Mellier, because of his young age. He likely participated in the Albigensian Crusade, where he died in Cahors.

        He married Matilda of Avesnes, widow of Nicolas IV, Lord of Rumigny, and daughter of James, Lord of Avesnes and Conde, and Adele, Lady of Guise. They had three children:

        Jeanne, Countess of Chiny, married to Arnold IV, Count of Looz
        Agnes, Lady of Givet and Abemont
        Isabelle, married to Otto, Lord of Trazegnies.

        Isabelle was referred to as Madame de Florenville during the Tournament of Chauvency in 1285, hosted by Louis' grandson Louis V, successor Count of Chiny,[1]

        Upon Louis’ death, his daughter Jeanne became Countess of Chiny until her marriage to Arnold IV, when he became the first Count of Chiny of the second dynasty as Arnold II.

        Louis IV was also a direct paternal descendant of Charlemagne.

      • Citation:

        https://www.familysearch.org/tree/person/details/GGGS-5FG